Le printemps de l’imaginaire francophone, édition 2018 : BILAN

Et voilà que le printemps de l’imaginaire se termine ! Pour rappel, le principe de ce challenge est de lire un maximum d’oeuvres francophones d’imaginaire pendant les mois de mars-avril-mai, et ces lectures permettent de valider un certain nombre de défis (cf mon précédent article).

Concernant cette édition 2018 : 14 lus, 13 chroniqués (la 14e viendra courant juin, je n’ai pas encore eu le temps de l’écrire). J’ai donc atteint le niveau Mage Erudit, et j’ai coché un certain nombre de défis optionnels.

 

Hors défis optionnels

 

 

1. Lire un-e auteur/-trice belge francophone

 

 

4. Lire un livre en rapport avec le vent ou l’air

(dans le titre ou le contenu)

 

7. Lire un recueil de nouvelles

 

 

8. Lire un livre auto-édité

 

Via le collectif Hydralune :

 

9. Lire un livre d’une petite maison d’édition

 

10. Lire un récit avec une héroïne

  • Neph et Shéa
  • Le Souffle des Muses
  • Quand la pluie viendra (en quelque sorte)
  • Les Oubliés d’Ushtar
  • La débusqueuse de mondes

 

14. Lire une relique de votre PAL

 

  • Sombres félins

 

15. Lire un livre d’un auteur ou d’une autrice que vous avez découvert-e au cours du challenge (Dans les PAL ou les suggestions des autres participant-e-s, par exemple).

 

 

VERDICT

 

J’ai découvert ce challenge cette année, et le relèverai de nouveau l’année prochaine avec grand plaisir (je ne pense pas que je ferai davantage de lectures, par contre). Ce challenge a en effet plusieurs avantages :

  • Comme il oblige à ne lire que des auteur.ices francophones, je me suis dirigée vers des lectures que je n’aurais pas forcément lues hors challenge (ou qui poireauteraient encore dans ma PAL, et ce pour encore plusieurs années…). J’ai donc fait quelques découvertes, avec des auteurs et autrices que je suivrai désormais.
  • Grâce aux autres chroniqueur.ses, j’ai pu ajouté un certain nombre de titres à ma Wish-List.
  • Ce challenge peut être suivi par n’importe qui, que l’on soit lecteur.ice assidue ou non, amateur.ice d’imaginaire ou non.

Le seul inconvénient, c’est que du coup on n’a pas forcément le temps de lire autre chose si on veut un gros « score ». Les non amateur.ices d’imaginaire notamment risqueront de se lasser avant la fin. De mon côté, j’ai mis quelques oeuvres en attente pour cause de « non-francophonie » (même si j’en ai lu quelques unes quand même malgré le challenge).

 

Je remercie donc Monde Fantasy pour avoir initié ce Challenge vraiment sympathique^^

 

 

 

 

Une réflexion sur “Le printemps de l’imaginaire francophone, édition 2018 : BILAN

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